Naviguer les défis de surveillance à Montréal avec MADPI GLOBAL
Avec ses vastes parcs verdoyants, ses promenades le long du vieux port, ses restaurants savoureux, ses lieux de divertissement, ses hôtels de luxe, son jazz et sa culture française, Montréal, au Canada, est sans aucun doute l’une des plus belles villes d’Amérique du Nord. Cependant, dans l’industrie de l’enquête privée, notre ville est tristement célèbre pour ses défis de surveillance cauchemardesques.
Tout d’abord, c’est une île, une grande île, mais une île quand même. Il faut naviguer sur des autoroutes, des rues et des tunnels utilisés par les gros véhicules commerciaux qui entrent et sortent de l’île par de vieux ponts étroits.
Deuxièmement, Montréal est une ville portuaire. Cela signifie que les transporteurs logistiques distribuent des milliers de conteneurs du port vers les rues, se déplaçant dans toutes les directions chaque jour.
Troisièmement, Montréal est une vieille ville, conçue au début du XXe siècle et principalement construite dans les années 50 et 60, et jusqu’à aujourd’hui, elle dispose de feux de circulation mal coordonnés, d’un mélange de bâtiments résidentiels et commerciaux à chaque coin de rue, de nouvelles pistes cyclables et de promenades piétonnes interdites aux véhicules, et de places de stationnement très limitées.
Quatrièmement, Montréal compte trop de rues étroites à sens unique, de blocs en forme de croissant et de culs-de-sac.
Cinquièmement, il y a une forte présence policière dans les rues, des bus scolaires le matin et l’après-midi, une circulation qui ne s’arrête jamais du lever du jour jusqu’aux heures sombres de la soirée, des zones scolaires, des dos d’âne, des limitations de vitesse et généralement de mauvaises conditions de routes avec de grands et profonds nids-de-poule.
Sixièmement, la construction. C’est notre fierté et notre joie, mais qui dure inutilement pendant des mois, voire des années, au même endroit, et est entourée de célèbres cônes orange tout autour du chantier. Nous avons perfectionné les détours, les rues fermées, les fermetures de voies, les arrêts coordonnés par des humains et les contournements, ce qui limite la capacité de manœuvre.
Enfin, le climat à Montréal est l’un des pires défis. Il est imprévisible, mal géré par les autorités et passe des jours de chute de neige de 20 cm qui s’accumulent à plusieurs mètres de hauteur et ne sont pas nettoyés pendant de nombreux jours, à des températures de -40°C avec facteur vent, à des journées glacées comme une patinoire en hiver, à des journées pluvieuses en automne, à des rues et des quartiers inondés au printemps, et à des journées à forte humidité en été.
Avons-nous assez dit ?